"La lumière est, par nature bénéfique et elle agit. De plus, le double de la guématria de Or correspond à celle de “VeAhavta” : “tu aimeras”. Il faut, en effet, aimer Dieu de tout son pouvoir et le moyen d’y parvenir est d’aimer son prochain."
Rabbi de Loubavitch
Tichri 5782
Merci de réserver vos places via le lien suivant pour le Beth Habad de Vincennes et via le lien suivant pour le Beth Habad de S.Mandé. Attention le nombre de place est limité.
Roch Hachana
Roch Hachana
Appelée la "Tête de l’année", Roch Hachana est à l'image de la tête qui contrôle le corps, où nos actions ont une immense influence sur le reste de l’année.
Dans la Torah, Roch Hachana est appelé "Le jour de la sonnerie du chofar". Comme Roch Hachana dure deux jours, nous devons entendre le chofar pendant les heures de journée de ces deux jours.
La sonnerie du chofar représente la sonnerie de trompette qui retentit lors du couronnement d’un roi. Son cri plaintif sert aussi d’appel à la repentance. Le chofar lui-même rappelle la Ligature d’Isaac, un événement qui eut lieu à Roch Hachana dans lequel un bélier prit la place d’Isaac comme offrande à D.ieu.
Cotisation annuelle
La cotisation annuelle est de 100€ par adulte et de 50€ par enfant.
Les sonneries du Chofar
Des sonneries seront organisées en dehors des offices de chararit du matin aux Beth Habad de Vincennes et de S.Mandé à partir de . Hommes, femmes et enfants seront accueillis pour écouter le Chofar.
Pour les personnes âgées, malades et ne pouvant se déplacer les Beth Habad de Vincennes et S.Mandé se mettent à votre disposition pour vous acquitter de la mitsva à domicile.
Merci de remplir le formulaire ci-dessous pour réserver votre passage.
Berakhot de l'année
Les berakhot de l'année correspondent à la bénédiction faite à chaque ouverture du Hékhal en semaine, le Chabbat et les jours de fêtes. Le prix fixé est de 1800€.
Le seder de Roch Hachana
Les deux soirs de Roch Hachana, différents aliments sont consommés pour symboliser nos prières et nos espoirs pour une douce nouvelle année:
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Dattes
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Haricots blancs
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Poireaux
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Betteraves
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Courge
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Grenade
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Pomme (chez certains : cuite dans du sucre) et miel
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Tête de bélier (ou de poisson)
Yom Kippour
Yom Kippour
Yom Kippour est le jour le plus saint de l’année – le jour durant lequel nous sommes le plus proches de D.ieu et de la quintessence de nos âmes. C'est le Jour d’Expiation — "Car en ce jour, Il fera expiation pour vous purifier de toutes vos fautes, afin que vous soyez purifiés devant D.ieu." (Lévitique 16,30).
Kaparot
Cette année vous pouvez régler vos kaparot en ligne. Pensez à préciser en commentaire lors du paiement de vos kaparot les noms et prénoms des personnes concernées. Vous recevrez un email de confirmation avec reçu CERFA.
Le prix est de 12€ la kapara.
Yizcor
Yizkor, signifiant en hébreu "Qu’Il se souvienne", est une prière spéciale récitée à la mémoire des disparus quatre fois par an, à la suite de la lecture de la Torah : le dernier jour de Pessa’h, le second jour de Chavouot, à Yom Kippour et à Chemini Atséret.
Le point principal du Yizkor est notre promesse de donner à la Tsedaka (charité) dans les jours qui suivront la fête en l’honneur du défunt. En donnant à la Tsedaka, nous accomplissons un acte matériel positif dans ce monde, quelque chose que le défunt ne peut plus accomplir.
Ainsi, l’âme acquiert un mérite supplémentaire, car le souvenir de ses bonnes actions rejaillit sur les êtres aimés qui cherchent à s’améliorer.
Souccot
Souccot
La fête de Pessah' est sans doute l'une des fêtes les plus emblématiques du Am Israel. De la construction de l'unité d'un peuple et de sa nature issue du miracle, Pessah' dévoile une dimension particulière de faire un bond en avant.
Un bond en avant vers une liberté très proche en sortant de sa propre Egypte et de l'esclavage auquel notre potentiel est réduit.
Les informations sont à venir
Sim'hat Torah
Sim'hat Torah
La fête de Pessah' est sans doute l'une des fêtes les plus emblématiques du Am Israel. De la construction de l'unité d'un peuple et de sa nature issue du miracle, Pessah' dévoile une dimension particulière de faire un bond en avant.
Un bond en avant vers une liberté très proche en sortant de sa propre Egypte et de l'esclavage auquel notre potentiel est réduit.
Hala'hot
Questions fréquentes
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Jusqu’à quelle heure peut-on mettre les Téfilines ?Tout d'abord sachez qu'il est interdit de mettre les Téfilines la nuit. Choul'han 'Aroukh, chapitre 30, Halakha 2. Il faut attendre un certaine durée après que l'aube ('Alot Hacha'har) soit passée mais il n'est pas nécessaire d'attendre que le soleil se soit levé (Nets Ha'hama). Le plus simple est de consulter les horaires précis figurant dans la plupart des calendriers. Mettre ses Téfilines répond donc à un calcul du temps qui varie selon les saisons de l'année. Ici nous nous concentrons sur la mitsva des Téfinilines et non pas sur celle de récitation du Chema Israel qui correspond à d'autres halakhot. Dès que le moment du coucher du soleil (Chki'a) est arrivé, il est interdit de les mettre sauf en cas de force majeure s'il nous a été impossible de les mettre auparavant. De nombreux décisionnaires pensent qu'une fois l'heure de la Chki'a passée, on ne fait pas de Brakha avant de les mettre. Cependant, d'après certains décisionnaires, cela est possible. Les horaires de la Chki'a figurent dans la plupart des calendriers. Nous vous invitons à consulter notre page dédiée aux halakhot pour trouver plus de détails.
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Jusqu’à quelle heure peut-on prier l’office de Min’ha ?Afin de répondre, nous allons faire mention de la notion de « Chéki’att Ha-‘Hama » (le coucher du soleil) qui apparait dans les calendriers en tout endroit (sous le terme « Chki’a »). Il est enseigné dans la Guémara, traité Béra’hott (29b): Rabbi Yo’hanan dit : Il est une Mitsva de prier avec les derniers rayons du soleil. Cela signifie que selon Rabbi Yo’hanan, il est très bon de prier l’office de Min’ha en même temps que le coucher du soleil. Mais la Guémara rapporte qu’en Erets Israël, on critiquait celui qui prie à un moment trop proche du coucher du soleil, car il pourrait se produire un événement majeure empêchant la personne de prier, et qui lui causerait de perdre totalement l’office. Il ressort donc des propos de la Guémara qu’il faut avancer le moment de l’office de Min’ha largement avant le coucher du soleil, et ne pas attendre juste avant le coucher du soleil pour prier. Ceci est pourtant en opposition à l’usage répandu dans de nombreuses synagogues où l’on prie l’office de Min’ha juste avant le coucher du soleil véritablement, et l’on enchaîne ensuite avec l’office de ‘Arvit. C’est également l’usage de nombreuses femmes vertueuses, qui prient l’office de Min’ha juste avant le coucher du soleil. Même notre maitre le ARI zal avait toujours l’usage de prier juste avant le coucher le soleil, et ensuite il priait l’office de ‘Arvit. L’usage de notre maitre le ARI zal est donc lui aussi en contradiction avec les propos de la Guémara. Le Gaon Rabbénou Yossef ‘HAÏM z.ts.l écrit dans son livre Ben Ich ‘Haï (Ki Tissa) que si notre maitre le ARI zal ne se montrait pas vigilant vis-à-vis des propos des sages d’Erets Israël cités dans la Guémara, c’est parce qu’ils n’ont seulement dit qu’il fallait veiller à ne pas prier à un moment proche du coucher du soleil par crainte de perdre l’office de Min’ha. Mais notre saint maitre le ARI zal avait un Minyan personnel chez lui, qui priait avec lui chaque jour en permanence, et puisqu’ils attendaient ce moment précis, il n’y avait donc pas de crainte qu’ils négligent et qu’ils ne prient pas. Selon cela, il est donc interdit - selon l’avis du Gaon auteur du Ben Ich ‘Haï – de prier Min’ha à un moment proche du coucher du soleil. Il faut prier à un moment plus tôt. Seul notre maitre le ARI zal – qui possédait un Minyan personnel à cet effet – était autorisé à prier Min’ha à un moment proche du coucher du soleil. Cependant, dans son livre Halichott ‘Olam (vol.1 page 248), notre maitre le Rav Ovadia YOSSEF z.ts.l émet une remarque sur les propos du Ben Ich ‘Haï, car les propos de la Guémara ne font pas de différence entre les différents types de personnes, et selon la Guémara, il serait interdit à quiconque et dans n’importe quelle situation de prier Min’ha à un moment proche du coucher du soleil. MARAN explique dans le Beit Yossef (chap.232) au nom de l’auteur du Hagahott Maïmoni que lorsque la Guémara cite la critique des sages d’Erets Israël envers celui qui prie avec le coucher du soleil, il s’agit en fait de quelqu’un qui retarde l’office de Min’ha jusqu’au moment précis du coucher du soleil. Mais quelqu’un qui prie avant le coucher du ssoleil, ne serait-ce que quelques minutes avant, n’est absolument pas visé par cette critique. Notre maitre le Rav z.ts.l prouve que même notre maitre le ARI zal ne priait qu’à un moment proche du coucher du soleil, avant le coucher du soleil, et non en même temps que le coucher du soleil, puisque nous savons que notre maitre le ARI zal priait Min’ha avec les Téfilin (les Téfilin de « Chimoucha Rabba »). Or, il veillait particulièrement à retirer les Téfilin avant le coucher du soleil. Il est donc certain que si le ARI zal priait Min’ha à une heure tardive, il s’agit en fait d’un moment proche du coucher du soleil et non au moment précis du coucher du soleil. Selon cela, lorsque la Guémara affirme qu’il ne faut pas prier Min’ha à une heure tardive, il s‘agit de l’heure précise du coucher du soleil. L’usage répandu dans les synagogues, ainsi que l’usage de notre maitre le ARI zal, de prier Min’ha à une heure tardive, correspond à un moment proche du coucher du soleil, même de quelques minutes, et il n’y a donc pas la moindre crainte sur ce point. Par conséquent, sur le plan pratique, il est permis de prier Min’ha à un moment proche du coucher du soleil, avant le coucher du soleil, comme tel est l’usage dans de nombreuses synagogues, et comme tel est l’usage de femmes vertueuses. Mais il ne faut pas repousser l’office de Min’ha au-delà du coucher du soleil, par crainte de perdre totalement la prière. Si à postériori (Bédi’avad) quelqu’un a malgré tout dépassé le coucher du soleil sans avoir prié Min’ha, il peut encore le faire jusqu’au moment de la sortie des étoiles (« Tsett Ha-Ko’havim »).
Les Mikves
Le Beth Habad met à votre disposition 3 mikve : un pour homme, un pour femme et un pour votre vaisselle.
En raison de la crise sanitaire actuelle, les mikvés seront accessibles avant et pendant la fête sous confirmation des Rabbanim du Beth Habad de Vincennes. Les gestes barrière et de distanciation sociale sont à respecter pour la santé de tous.
Les horaires des fêtes
Actualités
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Jusqu’à quelle heure peut-on mettre les Téfilines ?Tout d'abord sachez qu'il est interdit de mettre les Téfilines la nuit. Choul'han 'Aroukh, chapitre 30, Halakha 2. Il faut attendre un certaine durée après que l'aube ('Alot Hacha'har) soit passée mais il n'est pas nécessaire d'attendre que le soleil se soit levé (Nets Ha'hama). Le plus simple est de consulter les horaires précis figurant dans la plupart des calendriers. Mettre ses Téfilines répond donc à un calcul du temps qui varie selon les saisons de l'année. Ici nous nous concentrons sur la mitsva des Téfinilines et non pas sur celle de récitation du Chema Israel qui correspond à d'autres halakhot. Dès que le moment du coucher du soleil (Chki'a) est arrivé, il est interdit de les mettre sauf en cas de force majeure s'il nous a été impossible de les mettre auparavant. De nombreux décisionnaires pensent qu'une fois l'heure de la Chki'a passée, on ne fait pas de Brakha avant de les mettre. Cependant, d'après certains décisionnaires, cela est possible. Les horaires de la Chki'a figurent dans la plupart des calendriers. Nous vous invitons à consulter notre page dédiée aux halakhot pour trouver plus de détails.
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Jusqu’à quelle heure peut-on prier l’office de Min’ha ?Afin de répondre, nous allons faire mention de la notion de « Chéki’att Ha-‘Hama » (le coucher du soleil) qui apparait dans les calendriers en tout endroit (sous le terme « Chki’a »). Il est enseigné dans la Guémara, traité Béra’hott (29b): Rabbi Yo’hanan dit : Il est une Mitsva de prier avec les derniers rayons du soleil. Cela signifie que selon Rabbi Yo’hanan, il est très bon de prier l’office de Min’ha en même temps que le coucher du soleil. Mais la Guémara rapporte qu’en Erets Israël, on critiquait celui qui prie à un moment trop proche du coucher du soleil, car il pourrait se produire un événement majeure empêchant la personne de prier, et qui lui causerait de perdre totalement l’office. Il ressort donc des propos de la Guémara qu’il faut avancer le moment de l’office de Min’ha largement avant le coucher du soleil, et ne pas attendre juste avant le coucher du soleil pour prier. Ceci est pourtant en opposition à l’usage répandu dans de nombreuses synagogues où l’on prie l’office de Min’ha juste avant le coucher du soleil véritablement, et l’on enchaîne ensuite avec l’office de ‘Arvit. C’est également l’usage de nombreuses femmes vertueuses, qui prient l’office de Min’ha juste avant le coucher du soleil. Même notre maitre le ARI zal avait toujours l’usage de prier juste avant le coucher le soleil, et ensuite il priait l’office de ‘Arvit. L’usage de notre maitre le ARI zal est donc lui aussi en contradiction avec les propos de la Guémara. Le Gaon Rabbénou Yossef ‘HAÏM z.ts.l écrit dans son livre Ben Ich ‘Haï (Ki Tissa) que si notre maitre le ARI zal ne se montrait pas vigilant vis-à-vis des propos des sages d’Erets Israël cités dans la Guémara, c’est parce qu’ils n’ont seulement dit qu’il fallait veiller à ne pas prier à un moment proche du coucher du soleil par crainte de perdre l’office de Min’ha. Mais notre saint maitre le ARI zal avait un Minyan personnel chez lui, qui priait avec lui chaque jour en permanence, et puisqu’ils attendaient ce moment précis, il n’y avait donc pas de crainte qu’ils négligent et qu’ils ne prient pas. Selon cela, il est donc interdit - selon l’avis du Gaon auteur du Ben Ich ‘Haï – de prier Min’ha à un moment proche du coucher du soleil. Il faut prier à un moment plus tôt. Seul notre maitre le ARI zal – qui possédait un Minyan personnel à cet effet – était autorisé à prier Min’ha à un moment proche du coucher du soleil. Cependant, dans son livre Halichott ‘Olam (vol.1 page 248), notre maitre le Rav Ovadia YOSSEF z.ts.l émet une remarque sur les propos du Ben Ich ‘Haï, car les propos de la Guémara ne font pas de différence entre les différents types de personnes, et selon la Guémara, il serait interdit à quiconque et dans n’importe quelle situation de prier Min’ha à un moment proche du coucher du soleil. MARAN explique dans le Beit Yossef (chap.232) au nom de l’auteur du Hagahott Maïmoni que lorsque la Guémara cite la critique des sages d’Erets Israël envers celui qui prie avec le coucher du soleil, il s’agit en fait de quelqu’un qui retarde l’office de Min’ha jusqu’au moment précis du coucher du soleil. Mais quelqu’un qui prie avant le coucher du ssoleil, ne serait-ce que quelques minutes avant, n’est absolument pas visé par cette critique. Notre maitre le Rav z.ts.l prouve que même notre maitre le ARI zal ne priait qu’à un moment proche du coucher du soleil, avant le coucher du soleil, et non en même temps que le coucher du soleil, puisque nous savons que notre maitre le ARI zal priait Min’ha avec les Téfilin (les Téfilin de « Chimoucha Rabba »). Or, il veillait particulièrement à retirer les Téfilin avant le coucher du soleil. Il est donc certain que si le ARI zal priait Min’ha à une heure tardive, il s’agit en fait d’un moment proche du coucher du soleil et non au moment précis du coucher du soleil. Selon cela, lorsque la Guémara affirme qu’il ne faut pas prier Min’ha à une heure tardive, il s‘agit de l’heure précise du coucher du soleil. L’usage répandu dans les synagogues, ainsi que l’usage de notre maitre le ARI zal, de prier Min’ha à une heure tardive, correspond à un moment proche du coucher du soleil, même de quelques minutes, et il n’y a donc pas la moindre crainte sur ce point. Par conséquent, sur le plan pratique, il est permis de prier Min’ha à un moment proche du coucher du soleil, avant le coucher du soleil, comme tel est l’usage dans de nombreuses synagogues, et comme tel est l’usage de femmes vertueuses. Mais il ne faut pas repousser l’office de Min’ha au-delà du coucher du soleil, par crainte de perdre totalement la prière. Si à postériori (Bédi’avad) quelqu’un a malgré tout dépassé le coucher du soleil sans avoir prié Min’ha, il peut encore le faire jusqu’au moment de la sortie des étoiles (« Tsett Ha-Ko’havim »).